Qu’est-ce que la whey protéine ?

La whey, également connue sous le nom de lactosérum, est un sous-produit de la production fromagère. Elle est fréquemment utilisée comme supplément pour les sportifs en raison de sa richesse en acides aminés essentiels. Ces acides aminés jouent un rôle crucial dans la synthèse des protéines, favorisant ainsi la croissance et la réparation musculaire.

La whey est populaire non seulement pour sa composition, mais aussi pour sa rapidité d’assimilation. C’est pourquoi elle est souvent consommée après un exercice, car elle peut fournir aux muscles les nutriments dont ils ont besoin presque immédiatement.

Le Lait de Vache : composition et particularités

Le lait de vache est l’une des boissons les plus anciennement consommées par l’homme. Riche en vitamines, minéraux, protéines et graisses, il est considéré comme un aliment complet. La majorité des protéines du lait de vache sont constituées de caséine, tandis que le reste est formé par le lactosérum, ou whey.

Bien que le lait de vache soit nutritif, il contient également du lactose, un sucre qui peut être difficile à digérer pour certaines personnes. En raison de cette sensibilité au lactose, il est essentiel de considérer les effets de combiner le lait avec la whey, en particulier pour ceux qui ont des préoccupations digestives.

Mythes et Réalités : mélanger la whey avec du lait de vache

« Caséiner » sa whey

Il existe une croyance répandue selon laquelle le lait de vache, en raison de sa teneur en caséine, pourrait ralentir l’absorption de la whey, la rendant moins efficace pour la récupération après l’entraînement.

En vérité, la combinaison de ces deux protéines n’aura aucune incidence. Alors que la whey est rapidement assimilée par le corps, la caséine offre une libération d’acides aminés plus lente et prolongée, garantissant une alimentation musculaire constante sur une plus longue période.

La question du lactose

La whey et le lait de vache contiennent tous deux du lactose, bien que la quantité présente dans la whey dépende du type de whey choisie. Par exemple, la whey isolée contient très peu de lactose. Cependant, pour ceux qui sont intolérants, l’ajout de lait de vache augmente la quantité totale de lactose du mélange, pouvant ainsi causer des troubles digestifs.

Calories et graisses

Il est important de noter que l’ajout de lait de vache à la whey augmente la teneur calorique de la boisson. Cela peut être préoccupant pour ceux qui surveillent étroitement leur apport calorique et qui cherchent à consommer de la whey pour maigrir. Le type de lait choisi a également un impact : un lait entier apportera davantage de graisses et de calories qu’un lait écrémé.

Quels sont les avantages et les inconvénients du mélange whey-lait de vache ?

L’un des principaux avantages de mélanger la whey avec du lait de vache est l’amélioration de la saveur et de la texture de la boisson. Le lait confère une onctuosité et une douceur qui peuvent rendre la consommation de whey plus agréable, contrairement à la whey mélangée uniquement avec de l’eau qui peut avoir un goût plus dilué.

Du point de vue nutritionnel, la combinaison de la whey avec du lait de vache peut offrir un profil protéique plus complet. La whey fournit une source rapide d’acides aminés, tandis que la caséine du lait garantit une libération plus lente. Cependant, il est essentiel d’être conscient de l’apport calorique supplémentaire, en particulier si la gestion du poids est une préoccupation.

Conclusion

Le mélange de la whey avec du lait de vache offre une combinaison de goûts et de textures appréciables, ainsi qu’un profil protéique équilibré. Cependant, il est vital de prendre en compte les réalités associées à cette combinaison, comme l’apport calorique ou les considérations liées au lactose. En fin de compte, le choix de combiner ou non dépend des besoins, des préférences et des tolérances individuelles.

Service public ou service privé

Il existe deux possibilités pour faire le choix d’une infirmière. Demandez chez une structure publique qui gère l’ensemble des personnelles infirmières publiques ou faire le choix vers les services à profession libérale. Optez plutôt pour les services privés pour trouver un personnel soignant de qualité. Vous devez donc vous préparer avec un budget supérieur à ce que vous avez imaginé. Demandez l’avis de quelqu’un qui autrefois avait besoin d’aide. Vous saurez ensuite si la personne à qui vous faites appel est la bonne.

Le matériel

La plupart des personnels soignants n’apportent pas tous les équipements nécessaires chez vous, vous devez donc prévoir une alternative pour compléter le travail. Vous devez alors acheter vous-même le lit médicalisé, la chaise roulante, les seringues, les matériels pour les pansements. Les infirmières libérales se déplacent seules dans sa voiture. Il n’est donc pas possible qu’elles apportent elles-mêmes les équipements lourds. Elles se rendent chez plusieurs patients chaque jour, patients qui ont des besoins d’équipement différents. Vous devez donc demander l’aide d’un médecin qui va vous prescrire ce dont vous avez besoin concernant les matériels. En outre, l’assurance maladie se changera du remboursement.

Comment s’y préparer ?

Quand vous faites appel à quelqu’un ou à un inconnu, vous devez vous préparer psychologiquement ou vous devez parler clairement avec celui ou celle qui a besoin de l’aide du personnel soignant. Ne décidez jamais à la place de quelqu’un sans même le consulter. Il est aussi important de renforcer la sécurité et d’être méfiant lors de la première visite.

La dimension juridique des coopératives funéraires (SCOP, SCIC)

Nous l’avons vu en introduction, il existe différents modèles coopératifs, dont la SCOP et la SCIC. Chaque solution juridique présente des spécificités, des avantages, mais aussi des inconvénients. Vous pouvez prendre l’exemple de la Coopérative de Pompes Funèbres de Rezé pour avoir une idée précise et concrète de ce qu’est une entreprise coopérative dans le milieu des pompes funèbres. Elle s’inspire du modèle canadien et commence à essaimer dans d’autres grandes villes françaises. Une SCOP et une SCIC peuvent revêtir l’une des trois formes suivantes : SARL, SAS, SA.

L’agence de pompes funèbres organisée en SCIC est soumise aux dispositions du Code de commerce et à celles de la loi du 10 septembre 1947. La SCIC possède son propre patrimoine, distincte de celui de ses associés. Une pompe funèbre, par la nature de son activité, répond à deux caractéristiques de la SCIC : elle présente un intérêt collectif (celui de ses associés et celui des habitants de la localité où elle se trouve) ; elle contribue au développement économique de cette localité.

Dans la Coopérative Funéraire de Rezé est défini 4 collèges de vote :

• le collège des salariés
• le collège des usagers et citoyens engagés
• le collège des Structures de l’économie sociale et solidaire et soutiens
• le collège des fondateurs & personnes qualifiées

La majorité des bénéfices d’une SCIC sont systématiquement investis dans l’activité. Cela fait partie des résolutions annuelles, avec l’affectation des bénéfices au compte de report à nouveau et en réserves impartageables.

Les associés sont les salariés, les fournisseurs, les clients, les habitants de la commune, toutes les personnes morales ou physiques qui œuvrent pour la croissance de la SCIC. Le capital social est variable. L’agence de pompes funèbres relève donc de l’impôt sur les sociétés. Elle est assujettie à la TVA et doit payer la Contribution économique territoriale.

Si l’agence de pompes funèbres opte pour la SCOP, cela signifie que les salariés qui ont fait le choix de devenir des associés sont ses associés majoritaires : l’ensemble de ces salariés avec un statut d’associé détient 51 % du capital social. Le salarié d’une SCOP n’est pas forcément associé dans la SCOP. En ce qui concerne la fiscalité, l’agence de pompes funèbres n’a pas à s’acquitter de la contribution économique territoriale (CET). Enfin, elle paie l’impôt sur les sociétés.

Leurs valeurs démocratiques, solidaires, responsables, éthiques, écologiques

Une SCIC est multi sociétariat. En clair, ses membres sont hétéroclites. En ce qui concerne la gouvernance, chaque membre dispose d’une voix : tous les associés sont donc « égaux » lors des prises de décisions. Le dirigeant est élu par les associés et il possède un contrat de travail. La rémunération de la présidence est statuée comme année.

Toutefois, il n’a pas droit à des allocations chômage s’il perd son emploi au sein de la SCIC. Les associés sont solidaires, même si la responsabilité de chacun dépend du montant de ses apports.

La gouvernance démocratique se constate aussi dans la SCOP : au sein du conseil d’administration, 65 % des droits de vote peuvent être détenus par les salariés avec un statut d’associés. Concrètement, comme pour la SCIC, chaque salarié-associé équivaut à un vote. Ces salariés-associés élisent le dirigeant. Ce dernier est salarié de l’entreprise. Il a droit aux allocations chômage s’il est licencié ou s’il arrive au bout de son mandat et se retrouve sans emploi. La solidarité se manifeste dans le partage des bénéfices.

En effet, environ 45 % des bénéfices sont versés à tous les salariés de l’entreprise coopérative (ce versement s’appelle « participation  » ou «  intéressement  »). Les salariés-associés en reçoivent environ 15 %. Enfin, près de 45 % des bénéfices sont affectés aux réserves. Les versements effectués en faveur des salariés et des réserves de l’entreprise peuvent ne pas être soumis à l’Impôt sur les sociétés si et seulement s’il y a eu signature d’un accord de participation dérogatoire.

Certaines agences de pompes funèbres organisées en coopérative funéraire ajoutent trois autres valeurs au fonctionnement démocratique et solidaire qui caractérisent déjà une SCOP et une SCIC. L’aspect éthique constitue l’un de leurs piliers fondateurs : elles sont dans un esprit de réconfort, de soutien et d’accompagnement des familles endeuillées. En outre, elles sont en mesure d’organiser des funérailles éco-responsables. Par exemple, les cercueils fabriqués en carton ou en bois écoresponsable peuvent être proposés.

À l’heure où la filière funéraire est bousculée par des innovations technologiques, le modèle coopératif met en avant une « disruption » humaine par l’accompagnement et l’écoute. La technologie verse dans l’abstraction alors que l’enjeu est de remettre de l’humain dans les relations. La coopérative fait des émules, c’est un modèle à suivre dans les prochaines années.

1. Privilégier la proximité

En absence d’un contrat obsèques déjà préétabli, vous pouvez alors choisir librement l’entreprise de pompes funèbres qui s’occupera des obsèques. Bien que vous ne soyez pas obligé de faire appel à une agence de pompes funèbres proche de chez vous, il est fortement recommandé de choisir une entreprise de proximité.

En effet, vous aurez à vous y rendre plusieurs fois lors de l’organisation des obsèques du défunt, autant alors opter pour l’agence la plus proche. Qui plus est, ces professionnels funéraires connaissent très bien les réglementations en vigueur dans la ville, mais aussi la mairie et les cimetières.

2. Comparer le prix des obsèques

Pour faire des économies, référez-vous sur les tarifs appliqués pour choisir l’entreprise de pompes funèbres qui va se charger des obsèques de votre défunt. D’après la loi, les pompes funèbres ont l’obligation de vous communiquer un devis gratuit et sans engagement.

Cela vous permet alors de comparer sans contrainte les prestations des différentes agences de pompes funèbres. Les tarifs affichés peuvent être conditionnés par la localisation de l’entreprise, sa notoriété ou encore la qualité des services proposés. Depuis 2008, il n’est plus possible de faire un démarchage. En sachant cela, le mieux est de se tourner vers des professionnels de qualité inspirant des valeurs humaines.

3. Considérer la qualité d’accueil

Généralement, les premiers contacts avec les pompes funèbres se font par téléphone ou par mail. Mais pour en juger de la qualité de leurs services, mieux vaut se rendre directement sur place afin d’avoir une interaction avec le personnel.

En ces jours difficiles, vous avez besoin d’être rassuré, accompagné et écouté. Ces professionnels doivent alors inspirer douceur, bienveillance et attention. La qualité du contact permet de savoir si vous allez engager ou non l’agence pour une cérémonie d’adieu à l’image du défunt.

4. Analyser le devis

En plus de comparer les devis de différents prestataires, vous devez aussi éplucher son contenu. Cette opération vous permettra de faire un choix décisif. La rédaction de ce document est encadrée par l’arrêté du 23 août 2010. Un devis doit alors comporter des mentions légales correspondant à l’agence de pompes funèbres et la signature du représentant.

Outre la durée de validité, des informations spécifiques aux funérailles doivent également être mentionnées dans le devis comme la commune du lieu du service funéraire et de celle de l’inhumation ou de la crémation. Le montant total des frais doit y figurer, dont les salaires des agents, les vacations de police et la TVA.

5. Prendre le temps de bien réfléchir

Après avoir passé en revue les devis des différents prestataires, il convient de s’accorder le temps nécessaire pour réfléchir avec lucidité. Il ne faut surtout pas se précipiter à signer un quelconque contrat.

Il se peut que des éléments de certains contenus doivent encore être mis en lumière lors de la seconde lecture. Pour cela, revérifiez la mention légale de l’entreprise, les services obligatoires, la description détaillée de chaque service ainsi que le montant net des services fournis.

Les traitements médicaux

Le premier symptôme de la sciatalgie est la douleur. Et c’est cette douleur qu’il faut traiter avec des médicaments. Habituellement, les médecins prescrivent des antalgiques pour soulager la sciatique. Ces antalgiques peuvent être des décontracturants, des anti-inflammatoires ou des antalgiques de classe III. Parmi ces médicaments, on peut par exemple citer le paracétamol, l’ibuprofène et l’aspirine. Pour les douleurs rebelles, ils peuvent recommander des infiltrations de corticoïdes.

La kinésithérapie ou la physiothérapie

Pour les personnes souffrant de sciatalgie de plus de 6 mois, des séances chez un kinésithérapeute peuvent s’avérer être efficaces pour soulager les douleurs liées à la sciatique. Durant ces séances, le physiothérapeute donne des exercices d’étirements et des renforcements musculaires pour soigner le patient. Il peut également faire des massages qui ont pour but non seulement de soulager la douleur, mais aussi pour corriger la mauvaise posture du patient.

L’opération chirurgicale

La chirurgie n’est envisageable dans le traitement de la sciatique que lorsque les autres méthodes n’ont pas abouti, ou que les symptômes de la sciatalgie s’aggravent. Une opération chirurgicale pour la sciatique a pour but de soulager rapidement la racine nerveuse de la compression exercée sur lui. Elle peut être pratique par deux façons, soit par l’élimination par voie percutanée du fragment de disque gênant. Soit par l’extraction chirurgicale du fragment de disque faisant hernie.

Comment fonctionne un appareil auditif ?

De nos jours, presque tous les appareils auditifs sont numériques. L’appareil capte les sons grâce à un micro, il les traite et les amplifie avec l’aide d’un microprocesseur. Les sons sont ensuite reçus par l’oreille avec l’écouteur. Actuellement, des appareils sont capables de distinguer les niveaux de sons : grave, médium et aigu et qui sont amplifiés différemment selon le degré de perte de l’acuité auditive. Certains appareils sont munis de programmes préréglés qui sont capables d’analyser l’environnement sonore et de régler automatiquement les sons. Il y en a même qui sont équipés d’une connexion bluetooth et qui incluent différentes options pour la qualité du son, la parole, l’écoute globale et la localisation.

Un constructeur spécialisé dans la technologie auditive, la marque Phonak, propose une multitude de gammes d’appareils auditifs que vous pouvez trouver sur le site www.maison-appareil-auditif.be/appareil-auditif/phonak. Par ailleurs, il a mis au point une nouvelle puce pour une meilleure qualité de son. Les appareils auditifs Phonak ont toujours eu comme priorité d’être bien construits, solides, résistants à la poussière et à l’eau et donc à la transpiration.

Qui doit prescrire un appareil auditif et quand le porter ?

Pour bénéficier d’une prise en charge, un appareil auditif doit être prescrit par un médecin, de préférence par un médecin ORL, mais un médecin généraliste peut également le faire avec le résultat de l’audiogramme à l’appui. Le médecin est ensuite relayé par un audioprothésiste qui assure la mise en place d’un appareillage auditif adapté. Il faut choisir un audioprothésiste de confiance et proche de chez soi car vous devez subir de multiples contrôles pendant la phase d’adaptation de l’appareil.

L’appareillage est recommandé à partir d’une perte auditive de 30 dB. Il serait toujours mieux de s’en équiper sans trop tarder, tant que le cerveau reste encore capable d’interpréter les sons transmis par l’oreille et que la compréhension n’est pas encore affectée.

Les aides apportées par les pompes funèbres

Les professionnels d’une entreprise de pompes funèbres accompagnent les proches du défunt dans les différentes étapes des obsèques. Ils apportent le soutien psychologique nécessaire pour traverser, ne serait-ce que la première étape du deuil. Ils se chargent aussi de l’organisation de la cérémonie d’obsèques selon les besoins de la famille. Pour en savoir davantage sur les démarches à réaliser dans de telles situations, informez-vous sur ce site. Que ce soit pour une cérémonie civile, laïque ou religieuse, ils se chargent de l’animation et de la coordination jusqu’au cimetière.

Par ailleurs, ils prennent en main les différentes démarches administratives après le décès de A à Z. Les proches du défunt peuvent ainsi compter sur eux pour effectuer :

– la demande d’autorisation d’inhumation ou de crémation ;
– la demande de fermeture du cercueil et du transport du corps depuis un établissement de santé ;
– le constat et la déclaration du décès ;
– la préparation de la déposition du certificat de décès à la mairie.

À noter : les démarches administratives doivent se faire au plus tard 24h après le décès de la personne.

Le rôle de chaque professionnel d’une entreprise de pompes funèbres

Une entreprise de pompes funèbres regroupe plusieurs agents disposant de différentes compétences pour assurer différentes missions. Ils travaillent en équipe pour soutenir directement et indirectement la famille endeuillée.

Le conseiller funéraire

Le conseiller funéraire détient le rôle le plus important dans l’organisation des obsèques. Il réalise, en effet, les dernières volontés du défunt et de la famille en faisant preuve d’écoute. De plus, il peut donner des conseils sur le choix des produits et services selon le budget. Par ailleurs, il s’occupe des démarches sociales dont la rédaction et la publication de l’avis de décès.

Il propose également ses services pour rendre un dernier hommage à votre être cher de façon exceptionnelle et unique. Pour ce faire, il peut proposer une cérémonie sur mesure avec des articles funéraires personnalisés (la composition des fleurs, le cercueil, la sépulture, le caveau, la pierre tombale, etc.). En outre, il met à disposition un registre sur lequel chacun peut écrire des messages de condoléances.

Les autres professionnels

Ces professionnels vous soutiennent indirectement durant les obsèques :

– le chauffeur : il se charge du transport du défunt avec un corbillard, ainsi que quelques membres de la famille ;
– les porteurs : ils agissent sous les ordres du maître de cérémonie pour assurer la mise en bière et le port du cercueil ;
– le marbrier : il prend en main la conception et la pose des monuments funéraires ainsi que la réalisation des gravures de pierre tombale ;
– les hôtes et les hôtesses : ils opèrent dans la chambre funéraire pour accueillir et orienter la famille et les proches du défunt ;
– le thanatopracteur : il participe à la préservation du corps et à sa bonne présentation en lui injectant des soins de conservation.

Bon à savoir : La municipalité peut aussi recourir au service des professionnels des pompes funèbres pour entretenir les caveaux d’un cimetière.

Qu’est-ce qu’une hypertrichose ?

Lorsque la pilosité devient excessive, elle devient un problème. L’hypertrichose est une maladie méconnue et très rare, c’est une maladie qui correspond à un développement excessif de pilosité dans les zones déjà pourvues de poils. L’hypertrichose touche plus souvent les hommes que les femmes.

Quelles sont les origines de l’hypertrichose ?

L’hypertrichose ne survient pas à cause d’un trouble hormonal ou d’une pathologie, elle est plus précisément héréditaire, issue des mutations génétiques. Elle peut être induite par des médicaments qui provoquent des effets indésirables, la ciclosporine, le minoxidile et la phénytoïne sont souvent responsables de l’hypertrichose. Sachons que le traitement de cette maladie dépend de sa cause. S’il d’agit de l’hypertrichose acquise, il faut arrêter la prise des médicaments causaux.

Les signes de cette maladie

L’hirsutisme et l’hypertrichose sont deux maladies qui provoquent une pilosité excessive, la cause et le traitement sont différents, il faut bien les distinguer. Comme on le sait déjà, l’hypertrichose se présente dans les zones pourvues de poils, elle peut être localisée ou généralisée. Alors que l’hirsutisme est un excès de pilosité chez les femmes et les enfants sur des zones qui sont souvent dépourvus de poils comme le menton, la lèvre supérieure, la poitrine et même autour du nombril. S’il s’agit d’une hypertrichose congénitale, on peut voir des poils longs et duveteux sur toute la partie du visage et du corps. L’hypertrichose peut être accompagnée d’une anomalie de la forme du visage et du corps.

Comment ça marche ?

Lors d’une consultation, le naturopathe vous posera des questions approfondies sur votre santé ainsi et sur votre mode de vie. Il va systématiquement commencer par chercher la cause d’un mal dont vous souffrez, au lieu de juste faire taire les symptômes. Ceux-ci sont en fait des signes que votre corps envoie sur quelque chose de peut-être plus grave. Donc un simple mal de tête ne sera pas réglé avec un analgésique car le naturopathe cherchera à savoir ce qui cause ce mal de tête, peut-être des carences, des insomnies ou trop de stress. Ainsi, le traitement qu’il prescrira se dirigera tout de suite sur la cause et il sera soigné par des moyens naturels.

Les bienfaits

La naturopathie est une médecine bien plus profonde qu’il n’y paraît et ne se contente pas de vous donner des herbes et huiles essentielles ou des recettes de grand-mère. Cette médecine prend en compte chaque aspect de votre vie, votre alimentation, votre situation au travail, même votre vie sentimentale. Évidemment, le naturopathe n’est pas là pour fouiner dans votre vie privée, il cherche tout simplement à comprendre la cause profonde d’un mal-être. C’est aussi un thérapeute qui vous donnera des conseils adaptés pour avoir une meilleure hygiène de vie et donc pour que votre santé soit conservée aussi longtemps que possible. Pour choisir le bon naturopathe, assurez-vous qu’il soit diplômé.

Assurance obsèques : De quoi s’agit-il ?

C’est un contrat qui a pour objectif de prévoir, moyennant une cotisation, un capital à utiliser lors des funérailles ou des obsèques. Il se fait auprès d’une structure financière, d’un assureur ou d’une banque. Ce contrat permet au final de financer les frais engagés pour la cérémonie, les démarches administratives en lien avec le décès, etc.

Ce type d’épargne est en perpétuelle croissance, car de plus en plus de Français veulent soulager leurs proches des contraintes financières en cas de décès. Quand la mort survient, le capital est versé à celui qui a été désigné dans le contrat : il peut s’agir d’une entreprise de pompes funèbres ou d’un particulier bénéficiaire de confiance.

Si le total est versé à une personne morale, c’est-à-dire à l’entreprise organisatrice des funérailles, et que le coût total est inférieur au capital, la différence est automatiquement versée aux autres bénéficiaires mentionnés dans le contrat.

Assurance obsèques : comment faire son choix ?

Prendre une assurance obsèques permet à la famille du défunt de ne pas s’endetter pour l’organisation des funérailles. Pour faire son choix parmi les différentes assurances sur le marché, il faut prendre en compte trois critères essentiels avant de souscrire à ce type de contrat : le mode de cotisation, le bénéficiaire et le montant du capital.

La cotisation a pour but d’alimenter le capital. L’âge du souscripteur compte pour beaucoup dans le choix du mode de cotisation :

• Une cotisation unique : elle concerne les personnes ayant un âge avancé (plus de 75 ans). Elle peut aussi être intéressante pour les jeunes. Sa particularité réside sur le fait que la prime d’assurance se fait en un unique versement.
• Une cotisation temporaire : elle se fait sur une durée plus longue, de 10 à 15 ans. Le montant versé dépend des possibilités du souscripteur.
• Une cotisation viagère : concernant les personnes de 75 à 80 ans, celle-ci est associée à un délai de carence et le prélèvement mensuel se fait jusqu’à la date du décès.

Le bénéficiaire : c’est la personne auprès de laquelle sera versé le capital au moment du décès pour aider à l’organisation des funérailles. Il peut s’agir d’une personne physique ou morale à qui la responsabilité d’organiser les obsèques incombera. Selon le type de contrat d’assurance dépendra le choix du bénéficiaire :

• Pour un contrat en capital : ce sera un proche faisant partie de la famille ou un ami qui fait office de bénéficiaire.
• Pour un contrat en prestations : il s’agit plutôt d’une personne morale représentée par une entreprise de pompes funèbres

Bien évidemment, il faut aussi tenir compte de la réputation de l’assurance.

Quoi qu’il en soit, il est toujours judicieux d’informer les proches de la décision prise.